Signification de « Caitya »
En anglais: Caitya
Veuillez noter : les exemples ci-dessous sont fournis à titre illustratif uniquement et ne reflètent pas une traduction ou une citation directe. Il est de votre responsabilité de vérifier la véracité des faits.
Le concept Bouddhiste de la « Caitya »
Dans le bouddhisme tibétain, "Caitya" désigne un type de sanctuaire bouddhiste, souvent un lieu de culte abritant des reliques [1]. C'est une stupa ou un monticule utilisé pour la vénération, contenant des reliques, représentant l'architecture bouddhiste et les pratiques de vénération [2]. Ce terme est également utilisé pour désigner un sanctuaire ou un mémorial où ma gcig a offert des lampes et fait des offrandes, exprimant sa révérence pour son enseignant [3].
Il peut aussi s'agir d'un sanctuaire ou d'une stupa construite par le Dharmasvamin, symbolisant son engagement spirituel et la commémoration après sa mort [4]. Une stupa ou un monument commémoratif dans la tradition bouddhiste, souvent érigé pour honorer une personne ou un événement important [5]. Il commémore l'illumination spirituelle, comme on le voit dans les expériences passées de Gampopa [6].
Le terme représente une structure funéraire ou commémorative où les restes ou les images liés au Dharmasvamin étaient conservés [7]. Drapa Ngonshé a construit une stupa ou un sanctuaire, symbolisant une structure religieuse importante en l'honneur des enseignements et des êtres éclairés [8].
C'est aussi un reliquaire ou une structure contenant les restes d'une personne sainte, servant souvent de lieu de vénération [9]. Skyer sgangpa dharma seng ge, en tant qu'abbé, a érigé un reliquaire ou une stupa [10]. Stens pa lo tsa ba a remarqué des sanctuaires ou des monuments bouddhistes dans de nombreux pays [11].
Les disciples ont érigé des sanctuaires bouddhistes contenant des reliques pour commémorer le Dharmasvamin et répandre le Dharma [12]. Une stupa bouddhiste pour abriter des reliques et commémorer des individus, où les restes du Dharmasvamin étaient honorés [13]. Les structures religieuses ou stupas, notamment mentionnées avec des toits dorés [14]. Une stupa ou un monument qui abrite des reliques, souvent construit dans le cadre de la pratique et de la vénération bouddhistes [15].
Dans le Mahayana, il s'agit d'un sanctuaire ou d'une stupa où les reliques étaient enchâssées et vénérées . Le terme fait référence à un site sacré, souvent associé à la réalisation de l'illumination ou de la réalisation [16]. C'est aussi un type de structure bouddhiste, souvent associé au mérite et aux offrandes [17].
Le concept Hindou de la « Caitya »
Le concept de Caitya en hindouisme se réfère à des monuments sacrés et commémoratifs. Ils sont associés à des temples ou arbres sacrés le long des routes, signalant des lieux saints . Il s'agit d'un type de construction, comme un lieu de culte ou un temple.
Ce terme évoque une demeure divine, ou un abri sous un grand arbre près des voies de communication . Dans le cadre de la Vyakarana, le Caitya est également perçu comme un espace sacré dédié à la vénération .
Le concept de « Caitya » dans les sources locales et régionales
Le concept indien de "Caitya" a profondément influencé l'architecture religieuse. Les temples bouddhistes creusés dans la roche ont inspiré les premières églises chrétiennes, démontrant les échanges culturels significatifs [18]. Ces lieux de culte étaient souvent des salles de prière avec des stupas, favorisant les rassemblements communautaires en Inde, soulignant l'importance spirituelle des Caityas [19].
Sources et références pour une lecture plus approfondie
La liste ci-dessus est basée sur un certain nombre d'articles (en anglais) sur le bouddhisme, l'hindouisme, le jaïnisme, l'histoire et d'autres traditions spirituelles. Les sources utilisées et plus d'informations sur la signification du symbole « Caitya » peuvent être trouvées ci-dessous à titre de référence:
-) Blue Annals (deb-ther sngon-po) door George N. Roerich: ^(1), ^(2), ^(3), ^(4), ^(5), ^(6), ^(7), ^(8), ^(9), ^(10), ^(11), ^(12), ^(13), ^(14), ^(15)
-) Avatamsaka Sutra (flower adornment sutra)—Preface: ^(16)
-) ś door Leo M. Pruden: ^(17)
-) Triveni Journal: ^(18), ^(19)